Soumise d’une domina saphique 4 et fin

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Ce récit est la suite de : Soumise d’une domina saphique 3
il y a 4 mois

LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EST ICI

Laurie m’a indiquée que je la frustrais et même que je l’ennuyais de plus en plus, avec ma timidité un peu exagérée et pudeur déplacée. Cette remarque fit mouiller mes yeux et me gêna beaucoup. Elle m’expliqua que les Maîtresses aiment montrer leur soumise ou leur soumis, dans certains lieux adaptés. Elle précisa pour que les choses soient bien claires, que cela ne pouvait évidement se faire n’importe où et que le but de ces petites exhibitions de partage, ne devaient jamais mettre en péril la vie sociale des personnes dites soumises. La discussion, presque un monologue tant ma gorge était serrée, dura un moment

  • De quoi as-tu peur ? D’être jugée ? C’est une erreur ! Dans des soirées privées ou lieux comme ici au gîte fétichistes, le regard des personnes extérieures est justement l’inverse de ce que tu penses. Prenons pour exemple, une fille nue à quatre pattes en train de manger dans une gamelle comme une chienne. Si cela peut paraître humiliant, voir même dégradant aux yeux du commun des mortels, dans le monde BDSM, cela expose clairement que la soumise à du courage. Oui le courage d’afficher que pour sa Maîtresse, elle ferait n’importe quoi. Les soumis et soumis aimant et dévoués en tirent même une certaine fierté. Ils ou elles affichent clairement leur appartenance qui va bien au-delà d’une simple position, d’une simple image. De quoi as-tu peur ?

Je lui ai répondu que je ne savais pas réellement, que c’était difficile à expliquer, que j’avais trop honte !

  • Honte d’être avec moi ? Honte de faire du BDSM et de vivre ta soumission avec moi ?

Cette discussion me perturbait fortement. Si effectivement j’étais bloquée pour certaines choses et principalement la peur d’être vue en situation, je ne voulais pas la décevoir et encore moins la frustrer. Ce qui me fit le plus mal c’est quand Laurie m’a dit que elle, elle n’avait pas honte d’être avec moi, mais qu’elle était très gênée de devoir se cacher pour faire du BDSM avec moi. Dans la discussion, la phrase qui ma achevée c’est quand elle m’a dit que je ne lui faisais pas confiance puisque j’avais peur que ma vie sociale, soit affectée si on me voyait.

« Apprends-moi, attache-moi si il le faut pour m’aider à comprendre cet état d’esprit »

Si cette phrase je l’ai regrettée au début, elle m’a progressivement libérée comme les entraves, me libèrent des contraintes de la pudeur et de la morale.

Les choses n’ont pas tardé. Elle m’a proposé de devenir sa soumise officielle et de porter son collier quand ce serait possible. J’ai accepté en sachant que j’allais en baver. Laurie m’a demandé de patienter et qu’elle devait aller faire une course. Je n’ai compris qu’un quart d’heure plus tard, qu’elle avait demandé à Marc de lui vendre un collier BDSM. C’était facile pour elle de ne pas me laisser le temps de douter puisque la boutique est à la même adresse que le gîte fétichistes ! ! !

J’étais à genoux devant elle quand, avec ses yeux aussi mouillés que les miens, elle me l’a posé autour du cou en me disant : « Ce collier a une signification bien plus forte qu’une simple bague. Il associe l’amour et l’abandon de soi dans la soumission. En clair, le faire voir c’est dire que tu m’aimes, que je t’aime et que nous sommes toutes les deux fières de le dire ».

Ma « formation » n’a pas tardé. Elle m’a prise par la main pour que nous allions marcher main dans la main dans le parc devant la maison. Laurie m’a longuement embrassée sous les fenêtres de la véranda des propriétaires du gîte. En d’autres temps, je n’aurai pas accepté. Ce collier de soumise me transformait déjà et m’aidait à m’accepter, à accepter cet amour dit contre nature » mais qui me comble tous les jours. Ce qui fut « bizarre » c’est que je me sentais libérée d’aimer. Je n’oublierai jamais ce moment si particulier.

Nous sommes parties nous balader et faire un peu de marche à pieds avec une petite randonnée. Un tracteur nous a croisées, l’homme nous a à peine regardées. En d’autres temps, je me serai cachée car en robe d’été il est difficile de cacher un collier BDSM. En cours de route, elle m’a retirée ma culotte puis caressée sous les arbres le long de la rivière nommée Jalon. J’étais si excitée que j’avais la chair de poule !

A notre retour, elle a sorti le pilori pour le mettre à l’ombre à côté de la piscine puis mise intégralement nue avant de m’y bloquer la tête et les poignets. C’est lorsqu’elle m’a laissée seule que j’ai pris conscience que j’étais vraiment vulnérable. Laurie a pris son temps pour me laisser « mûrir » même si j’étais à l’ombre. Elle est revenue avec un martinet pour s’occuper des mes fesses en s’amusant à le passer entre mes cuisses, à le faire glisser sur mes lèvres si humides, que parfois, elles restaient collées aux lanières.

Le moment le plus dur, et sûrement prémédité car ils évitent de venir à la piscine quand il y a des clients, c’est quand Marc est arrivé. Laurie l’a rejoint en me laissant en plan sur le pilori AVEC le martinet posé autour de mon cou ! ! ! Il nous a demandé si il dérangeait et si il devait aller chercher un maillot. Laurie l’a mis à l’aise en lui indiquant qu’il ne dérangeait pas. Il s’est mis nu et a plongé dans la piscine en m’ignorant totalement. Elle a fait de même et ils ont « tapé la discute » comme si je n’étais pas là ! Marc ne pouvait rien voir de mon anatomie puisque le pilori était face à eux. Si il n’a pas tardé à repartir pour nous laisser tranquille, ce fut une grande étape pour moi d’être vue ainsi, nue et soumise.

Laurie m’a dit être fière de moi, autant dire que cela m’a émue. Par contre, je n’ai pas aimé sa « récompense » pour les progrès, enfin au début.... Ma sadique d’amour a tenu à me faire jouir en plein air sur le pilori ! Experte en femmes, entre ses doigts très « taquins » et le magic wand massager sur batterie, il ne lui a pas fallu longtemps pour me faire décoller. La pudique entravée nue et avec un collier de soumise autour du cou a bel et bien pris du plaisir dans un pilori installé en plein air ! Lorsqu’elle m’a libérée, ce fut pour poser une laisse à mon collier et me conduire à la chambre Love où elle s’est couchée sur le lit sans fermer la porte du donjon.

  • Remercie ta Maîtresse avec la bouche, pour cette première journée de formation ! Fut un ordre accompagné d’un doigt désignant son sexe.

Le message était clair ! Si j’étais toujours un peu gênée par l’idée que Marc puisse passer par là, j’ai fait l’amour à ma Maîtresse de partout, j’avais une folle envie de la dévorer. C’était divin encore une fois. La journée avait été riche en émotions, sensations. J’étais si bien que je lui ai demandé si nous pourrions essayer un jour la chaise percée pour du facesitting. Ses yeux se sont allumés !

Le lendemain, après la piscine où je me suis baignée cette fois intégralement nue et sans aucune gêne, elle m’a entravée dans le donjon, avec la tête dans cette fameuse chaise percée emménagée comme des toilettes avec un abattant WC. J’ai découvert que lutiner ma Maîtresse ainsi était particulièrement troublant. Elle s’est amusée à se faire lécher les deux orifices, ce qui n’était pas la première fois, mais là, c’était différent. Je me sentais beaucoup plus SA chose. Laurie s’amusait de bon cœur avec mes tétons lorsqu’elle m’a indiquée avoir envie de faire un petit pipi.

Comme je planais à 100 % sur la planète des soumises en perdition, j’ai accepté d’essayer. Si le goût n’était pas divin du tout, ouahou, que d’émotions que de la sentir couler ainsi dans ma bouche, de sentir son urètre vibrer. Elle pinçait un peu plus les tétons à chaque petites giclées, cela m’aidait beaucoup à boire. Et quand après avoir fait son « micro pipi » Laurie a caressé mon sexe, j’ai quasiment explosé de suite. Surprenant, je sais, mais il y a des choses difficiles à expliquer.

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Au plus le temps passait, au plus je la désirais, au plus j’aimais être sa chose en soumise, et surtout, être sans défense offerte à toutes ses lubies. Je ne me sentais plus de vivre sans elle tant j’étais heureuse, épanouie.

Le séjour au gîte fétichistes touchait à sa fin, quel dommage, on y est si bien que l’on est triste à l’idée de repartir dans le monde dit civilisé. J’ai pris l’initiative de commander un repas dans leur salle de restauration en me doutant un peu que Laurie profiterait de leur présence pour s’amuser à mes dépens. Si j’appréhendais, cela me faisait plaisir de lui faire ce plaisir. Je parle d’une sorte d’offrande de ma personne, pas du prix des repas qui est bien plus que raisonnable, 13 euros tout compris, ambiance incluse.

Ambiance incluse signifie que, outre le repas copieux et fin, les discussions étaient agréables, distrayantes, aucun sujet ne semblait les gêner. Laurie avait tenu à ce que je porte mon collier de soumise, j’étais si décontractée que je l’ai oublié pendant le dîner. Cette décontraction m’a poussée à plaisanter, à faire une touche d’humour de trop sur le dos de ma Maîtresse d’Amour. Sans le vouloir, je lui ai donné un prétexte pour me punir, laver ce pseudo manque de respect qui n’en n’était absolument pas un.

Laurie s’est arrêtée de parler, de manger son désert. Elle me regardait droit dans les yeux. Le silence s’est fait, il a duré quelques secondes qui m’ont semblés des heures. Elle s’est levée, m’a prise par la main pour me conduire à l’espèce de canapé en rotin où elle s’est assise avant de me coucher sur ses genoux. Après avoir relevé ma jupe, elle m’a déculottée pour me fesser. Ce n’est pas qu’ils voient mes fesses qui me gênait le plus, c’est ces côtés régressifs et punitifs en public. La fessée n’était pas bien méchante sur le plan physique, mais psychologiquement ce fut difficile et que le début.

Pourquoi le début ? Parce qu’elle a prétexté avoir mal au bras à cause de sa tendinite pour demander à Marc de prendre le relais. J’ai cru halluciner en entendant sa demande tout comme Marc lui répondre « avec plaisir ». Aussi sympathique que je le trouvais, il est soudain devenu un gros pervers à mes yeux. J’ai du me relever avec la culotte aux chevilles devant eux puis, me rallonger sur ses genoux. La fessée a repris pendant que Laurie mangeait son dessert comme si ce qu’il se passait était naturel ! ! !

Je serrais les dents car cette fessée là était bien plus rude que celle de Laurie. La main de Marc me faisait l’effet d’un paddle, même si il retenait les coups. J’ai fini par « oublier » l’humiliation, mes neurones se concentrant sur mon épiderme fessier « montant en température ». La douleur faisait place à une sorte de chaleur qui, progressivement, se transmettait à « mon devant », à ma tête. Contre toute logique, cette humiliation et cette fessée menaçaient de me conduire au plaisir, cela m’a grandement perturbée.

J’ai presque regretté que Laurie le remercie pour lui signifier que cela suffisait. Je l’ai haïe quand elle a voulu voir si cela m’a faite mouiller en passant sa main dans la culotte que j’avais remontée à la hâte. Lorsque nous avons quitté les lieux, elle n’a pas voulu que l’on aille se coucher mais que l’on aille profiter du donjon une dernière fois.

  • Alors comme ça tu mouilles quand quelqu’un d’autre que moi te donne la fessée ? M’a dit Laurie moqueuse après avoir fermé la porte.

J’ai baissé les yeux de honte, j’étais horriblement gênée, j’appréhendais la suite. Ce fut « « atroce » » ! Laurie m’a attachée bras en jambes en croix sur le lit de la chambre Love pour me faire l’amour ! J’ai été comblée au sens propre du terme par des sextoys, par son désir de moi si palpable que je fondais de bonheur. Elle m’a dit être fière de moi car, si je n’avais pas refusé d’être fessée par Marc et que, si j’avais mouillé, c’est parce que je progressais dans ma soumission et l’amour que je lui portais. Ce fut ensuite une longue nuit d’amour, de tendresse sans entrave, la chambre Love a pris tout son sens.

Lorsque nous avons pris la route le lendemain après les « au revoir » j’avais le coeur gros comme une pastèque espagnole. Laurie semblait perturbée, cela m’inquiétait. Elle m’a rassurée et m’a dit de ne pas me faire de souci, que tout allait bien, qu’elle réfléchissait à quelque chose d’important. En arrivant chez elle, une fois que la voiture fut déchargée, elle m’a demandée de m’asseoir pour me demander quelque chose. Sa tension était palpable, j’étais vraiment très inquiète.

  • Ma puce, ma question est simple mais elle va sûrement te perturber. Accepteras-tu un jour de venir vivre avec moi, de m’épouser, de devenir ma femme ?

Je me suis jetée dans ses bras pour pleurer. (De joie)

FIN

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

TOUTEFOIS Marc et son épouse sont, quant à eux, bien réels tout comme le gîte fétichistes

très jolie récit , dommage que ce soi déjà la fin
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